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Cabretaires de Paris.

La Cabrette est très populaire dans le milieu auvergnat de Paris, à la fin du dix-neuvième siècle et au début du vingtième, avant d'être supplantée par l'accordéon.
C'est à cette époque, alors que Paris est en plein essor économique, que les bals musettes connaissent une grande popularité.
Le bal et le style musette sont nés d'un paradoxe. De nos jours, ils évoquent avant tout l'accordéon, alors qu'ils doivent leur nom à l'instrument : la musette, autre nom de la cabrette.
En Patois d'Occitan on dit Cabretaïre pour le plaisir de la prononciation (en phonétique). En Français on écrit Cabrettaire. C'est plus plat. "Monsieur Google" n'aimant pas les accents et trémas dans les titres... on mélange !
Invitez-vous au bal-musette en ouvrant le pdf. ci-dessous !


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Bouscatel cabretaire militant.

Une quarantaine d’années de passion dévorante vouée à des recherches sur le terrain et en archive a été nécessaire pour qu’en 3 années d’écriture et 450 pages plus loin (+ un CD), André Ricros en collaboration avec Eric Montbel, nous livre l’histoire des « Seigneurs de la nuit » articulée autour de la personnalité du roi des cabretaïres : Antonin Bouscatel.
Originaire du Cantal, Bouscat, ce musicien d’exception est considéré comme un grand monument de cette cornemuse emblématique de la colonie des Auvergnats de Paris.
A partir de ce personnage, l’intérêt d’André Ricros s’est exercé dans deux directions : le mécanisme secret et mystérieux de la  transmission et la création des bals musette.
D'un clic téléchargez le pdf. ci-dessous et prenez le temps de lire ce bel article de l'AMTA qui présente le livre d'André Ricos et Eric Montbel disponible auprès d’Auvergne Diffusion.


 bouscatel_cabretaire.pdf

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La Cabrette et le Biniou.

ça commence comme un conte de Daudet qui se passerait moitié en Velay et moitié en Bretagne…
Et ça peut continuer par une estime-amitié d’un Cabretaïre et d’un Sonerien par-dessus les kilomètres pour l’amour réciproque de traditions locales vigoureuses exprimées en Breton et en Occitan.
A première vue le biniou a plus de tuyaux et est plus gros que la cabrette qui, elle, possède un soufflet.
Biniou breton et cabrette occitane se ressemblent bien que de régions si différentes...
Et pour cause ! Tous deux ont un ancêtre commun qui se décline en une vaste famille, les Cornemuses.
C’est par la Cornemuse qu’il faut commencer notre étude, en ouvrant le pdf. ci-dessous !


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Le Joug et la Forcola.

Tout semble opposer le Joug et la Forcola.
L'un a les pieds sur terre et l'autre ne se plait que sur l'eau... et pas n'importe quelle eau, celle de Venise !
Cependant tous deux ont de si belles formes qu'on ne peut pas voir en eux que de simples outils. Leur esthétique les a mués en de véritables sculptures.
Une preuve en est que, maintenant que l'un n'est plus en usage et que l'autre est sur un regrettable déclin, nombre de personnes, séduites, les achètent pour décorer leur maison !
Ouvrez le pdf. ci-dessous pour regarder d'un œil neuf le Joug et la Forcola !


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Un Gaillet peut en cacher.......

Vous ne connaissez pas Galium aparine, Galium cruciata, Galium odoratum ?
Mais si, bien sûr. Ce sont leurs noms savants que, peut-être vous ne connaissiez pas. Car vous les avez vus, par-ci par-là dans des prés, sur des talus et des bords de fossés... Ils font partie de la famille des Rubiacées qui réunit plus de 12 500 espèces. On y trouve aussi bien des herbacées que des buissons ou des arbres !
Leur nom vient de la teinture rouge que produisent leurs racines.
Cousines des Gentianes, plusieurs sont comestibles.
Vous en consommez peut-être à votre petit déjeuner…
Vous voulez en savoir plus ? Ouvrez le pdf. ci-dessous !


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